CANTATES POUR ALTO SOLO BWV 169 & 82

Le Banquet Céleste, Damien Guillon & Maude Gratton

Bach: Cantatas BWV 169 & 82 - Alpha

Alpha

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Diaposon 5

Deux cantates d’une profondeur particulière.

Après le succès du premier enregistrement consacré aux cantates pour alto BWV 35 et 170 paru en 2012 chez Outhere, Damien Guillon poursuit son travail de recherche et d’interprétation en consacrant un deuxième opus aux cantates pour alto BWV 82 et BWV 169, entouré des musiciens du Banquet Céleste et de Maude Gratton au grand-orgue.

Damien Guillon, Contre-ténor & direction

Maude Gratton, Orgue solo

Le Banquet Céleste

Dans la presse

Muzikzen

Franck Mallet : « Damien Guillon apporte une dimension supérieure à cette clarté et sensibilité si particulière (…) Damien Guillon au sommet – éblouissante Aria Stirb in mir ! Un vrai Banquet Céleste pour Bach »

Musikzen
Diaposon 5

« Damien Guillon entame Ich habe genug avec une voix somptueuse (…) voici l’une des plus belles lectures. »

Classica

« De nombreux contre-ténor ont choisi (la cantate BWV 82). Damien Guillon reste néanmoins le plus convaincant, tant par la plénitude et l’homogénéité de sa voix que par l’attention portée au texte, sans la moindre affectation (…) Damien Guillon se montre admirable de justesse. »

Nouvle Obs'

Jacques Drillon : « Voilà un programme à la fois splendide et malin : deux cantates pour alto solo, avec orgue solo et sans chœur. Idéal pour ce petit ensemble et cette magnifique organiste, intelligente, décidée, qu’est Maude Gratton. En prime la troisième sonate en trio et la Fantaisie en fugue en sol mineur, sublimement jouées. […]

« Damien Guillon nous séduit par la subtilité de sa ligne et son art des ornements mis au service d’une approche intime.  Le contre-ténor français se fait charmeur dans le BWV 35, (…) il anime lui-même un orchestre de solistes très mobile, aux nuances précises où l’orgue de Maude Gratton, cinglant, a sa part. »

Classica

 « Damien Guillon convainc par l’intensité de son timbre et son expression aboutie, (…) donne l’impression manifeste de comprendre et qu’il chante. L’équilibre entre la voix et les instruments, dont l’orgue, est parfaitement restitué. Damien Guillon et son Banquet céleste peuvent alors prétendre approcher les meilleures versions masculines de la discographie. »

Maire-Aude Roux : « Le jeune chanteur, qui développe une virtuosité sans esbroufe, est rompu à l’exercice collectif. (…) le temps parait suspendu aux lèvres ductiles de Damien Guillon. »

Le Monde