« Les Amours déchirantes de Marie-Madeleine »

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« Quand au chef du soir, Damien Guillon il semble aussi à l’aise au chant qu’à la baguette, enchaînant les voltes-faces vers l’ensemble du Banquet Céleste« … » puis vers le public qu’il charme d’une voix noble et amoureusement vocalisante (tout en conservant le lien avec sa phalange, par de subtils mouvements de main et d’épaule). Plus belle preuve qui soit de la qualité du spectacle et du passionnant enchaînement narratif des 88 épisodes (airs, récitatifs et intermèdes), c’est une grande surprise pour l’auditoire que de voir les interprètes s’interrompre au milieu de l’histoire pour des saluts. Non seulement parce qu’un entracte ne s’accorde pas avec un oratorio dans une église, mais aussi en raison de la remarquable fluidité et de l’incarnation de cette œuvre, aussi fascinante que son lieu sacré d’un soir. » Charles Arden

- Opéra de Rennes