Jacques Drillon : « Voilà un programme à la fois splendide et malin : deux cantates pour alto solo, avec orgue solo et sans chœur. Idéal pour ce petit ensemble et cette magnifique organiste, intelligente, décidée, qu’est Maude Gratton. En prime la troisième sonate en trio et la Fantaisie en fugue en sol mineur, sublimement jouées. Damien Guillon rompt avec la figure du contre-ténor rêveur et adolescent. Il a le sens du tragique, il a une technique d’enfer et sa voix est irrésistible. »